Vendredi 17 Juin

Je suis d'accord avec Drenn, c'est inquiétant de retrouver ce ballon, mais c'est juste un ballon pour le moment, non? Pourquoi es-tu si inquiète ? A cause du ballon, ou autre chose ? Personnellement, je ne vois pas qui pourrait nous en vouloir, et si c'est de David dont tu as peur, entamons des recherches et on saura ce qu'il est advenu de lui.
Hermès se renfrogne, se disant que tout ceci ressemble de plus en plus à une mauvaise farce.
Pour le reste c'est toi qui est dans la police... Des crimes tu as déjà du en voir, et sans doute des plus sordides, nous non, et j'espère que mon expérience dans le domaine restera anecdotique et cantonnée aux films de Hercule Poirot. Et puis quel rapport avec ce demi billet?
Il remet le nez dans son verre.

"Il y a des films d'hercule poirot très sanglant"
Drenn secoue un peu la tête, un peu ailleurs, avant de reporter son attention sur ses deux camarades.

Prune arborre une mine sinistre...
"David ne serait pas à l'origine de quoi que ce soit...je n'ai pas encore les résultats du labo mais je crains plutôt que ca ne soit son squelette que nous avons trouvé...
Le ballon, David, cette moitié de billet envoyé étrangement après tant d'années...
J'aimerais pour commencer faire analyser ce paquet que tu as reçu, Hermès...quand à l'importance à donner à cette histoire, je ne sais pas...je ne sais plus..."







(pardon mais je trouve la couleur bleue très désagréable à lire...pourtant j'aime bien le principe de distinguer les paroles des persos...)

"Ah...oui ca change tout...Mais si tu n'as pas les résultats du labo, qu'est ce qui te pousse à croire que c'est David ? Et vu le paquet reçu par Hermès, tu crois qu'il pourrait être la prochaine cible du tueur ?"

(moi je dis que orange ca peut etre pire que bleu)

Ah non, je refuse d'être la cible de qui que ce soit, c'est hors de question. Le squelette de David tu dis! Ca flanque la frousse, j'espère que ça n'est pas lui...Quant au paquet je l'ai déjà bien manipulé, je ne sais pas s'il sera exploitable.
C'est quand même sacrément grave cette histoire dans laquelle tu souhaiterais nous voir embarquer.

(t'es un gros boulet )

merci cher public.

"je ne souhaite rien du tout...nous n'en sommes plus là...pour d'obscures raisons nous sommes tous embarqués dans cette galère...moi peut être plus par choix parceque j'ai refusé de passer ce dossier...
quoi qu'il en soit je crois qu'il est plus que temps que nous retournions au commissariat, peut être y'aura t'il du nouveau et nous regarderons quand même ce paquet de plus prêt...comme je vous l'ai dis au téléphone je suis navrée de vous retrouver dans ces circonstances mais je pense que vous devriez prévoir de rester quelques jours, je serais plus tranquille et qui sait peut être vos souvenirs pourraient ils m'aider..."
un sourire contris étira vaguement les lèvres de Prune et elle se dirigea sans plus attendre vers le comptoir afin de régler l'addition...

Drenn vide son verre, tranquillement.
"Tu crois plus prudent pour nous de rester ici ? près du tueur ? J'ai la présomption de me croire plus en sécurité par chez moi, avec mon Chauffeur pour veilleur sur moi...Cependant l'histoire m'intrigue, et je suis près à rester au moins un peu pour en savoir plus."

Prune était complètement ébahie par la réaction de ses anciens camarades de classe!
Sa stupéfaction pouvait se lire sur son visage...lasse elle renonça pour l'instant à s'expliquer plus en avant...
elle ressassait encore les derniers mots d'Hermès quand elle manqua de s'écrouler au comptoir...
les jambes flageolentes, elle parvint néanmoins à se retourner vers la salle, acculée au comptoir par quelques forces obscures...

Citation :

acculée au comptoir par quelques forces obscures...

Et bien si Prune s'évanouit je la retiens...
"Hé bien! Ca ne va vraiment pas fort!"
J'appelle le 15.

Drenn regarde la scène, les yeux légèrement écarquillés, puis son regard fait le tour de la salle, avant de se reposer sur ses deux amis. il attire une chaise pour que prune puisse s'y asseoir.

Prune ouvre son poing sérré






Elle vous regarde comme ayant repris quelque peu ses esprits...
je retourne au comissariat...vous me suivez?

Drenn regarde le billet dans le poing, et une expression d'incompréhension se peint sur son visage. Il laisse passer un gros blanc après la question de Prune.
*gros blanc*

(Au fait je réagis un peu tardivement, mais dans l'avant dernier post de Prune, il y a une phrase que je ne sais pas comment interpreter :
"[...]acculée au comptoir par quelques forces obscures."
Est ce juste une figure de style ?
sinon, comment peut on voir que des "forces obscures" sont à l'oeuvre ? un effet visuel quelconque ?
S'il s'agit de force obscure bizarroide, et qu'il n'y a pas d'effet visuel, pourquoi préciser qu'il y a des forces obscures à l'oeuvre ?
Bref, je demande un peu de précision, car du coup j'ai du mal à savoir comment doit réagir Drenn. )

(euh, pareil que Drenn pour les forces obscures...)
"C'est quoi ce billet!! C'est toi qui l'a envoyé? Si ce n'est pas toi, ne me dit pas qu'il était dans la grotte!!!"

(pardon pour l'effet de style qui vous a embrouillé et laissé perplexe)

"quelqu'un vient de laisser cette moitié de billet pour payer sa consommation...c'est le barman qui vient de s'en apercevoir au moment où je le payais moi aussi..."

"Mais qu'est-ce que c'est que ce borbel??"
Hermès visiblement énervé se tourne vers le barman,
"vous savez qui vous a donné ce billet?"
Il jette un regard alentour pour rechercher des visages connus, du moins reconnus.

Drenn se précipite dehors et regarde a droite et a gauche, voir les personnes s'eloignant du café.

Le barman te réponds visiblemetn intimidé par le ton que tu as employé:
Je sais pas trop, un grand gars brun, il était à la table la bas; dit il en vous montrant une table a trois mètres de la votre; il a pris un coca, attendez, il avait une chemisette sombre et des lunettes de soleil. Mais vous fachez pas, j'y suis pour rien moi, et puis d'abord pourquoi vous vous énervez contre moi??
Il détourne son attention vers d'autres clients.

En observant aux alentours, tu vois plusieurs personnes dans la rue, en tenue d'été par cette belle journé, et marchant tranquillement.

Je les bute tous...pour faire un exemple.

Je cri "Hé Vous !" et je regarde qui ne se retourne PAS (et moi je plaisante pas, je le fais vraiment)

Deux personnes qui se dirigent dans la même direction ne se retournent pas.